L’heure était venue. Fusanoshin devait le faire. Il a transgressé le règlement et il doit payer pour ça, peu importe quand. Il y avait peu de gens sur Survival, mais si en plus ces mêmes gens s’amusent à faire les malins en insultant les autres membres, il n’y aurait plus d’ordre. Maintenant que les travaux du site sont terminés, Fusanoshin pouvait punir ce jeune contrevenant qui n’a eu aucun scrupule à insulter son frère Kai. Il avait pour nom Nakero Sakania, il était jeune et ne pensait sûrement pas à mal en disant ça, il n’avait pas pris au sérieux les menaces qu’il y avait écrit sur le panneau à l’entrée mais il était censé prendre connaissance tout ça avant de se lancer. En plus il avait reçu de nombreuses mises en garde amicales pour la plupart, mais il a continué et maintenant il sait que ce n’était pas pour plaisanter et qu’il comptait bien lui faire payer ce comportement inacceptable envers son propre frère. Fusanoshin avait écrit ces même règles, il était donc et en quelque sorte le geôlier de Survival Wonderland mais personne jusqu’à présent ne l’avait vu mettre ses menaces à exécution. En fait, la salle de torture qu’il avait construite avait une porte très épaisse fermée par un système assez difficile à manœuvrer car elle demandait de la force pour ça. Ainsi isolée acoustiquement et verrouillée de manière très sûre, personne à part Kaytlin, la maitresse de torture, ne le voyait ni l’entendait torturer. Il revenait parfois avec du sang sur ses serres, mais personne ne voyait le martyr ni son état actuel car il ne le libérait que des heures après ses tortures, histoire de méditer un peu sur ses actes, même si ils faisaient plus en sorte de survivre. Fusanoshin n’abandonnait pas aussi facilement ses principes. Personne ne savait ce qu’ils enduraient, car ils n’osaient plus en parler une fois guéris et c’est justement ce qui le rendait imprévisible et impitoyable dans ce domaine. Autant il était terrible avec les petits malins, autant il était très gentil avec les personnes qui n’enfreignaient pas sciemment le règlement, c’était comme le jour et la nuit dans un même corps.

Le Shikigami entra alors dans le dortoir en plein soirée, où Nakero dormait paisiblement. Le pauvre, il avait presque oublié quel jour il serait torturé…

-Debout, toi ! Un longue nuit t’attend, c’est plus le moment de roupiller ! Ne fais pas semblant de pas savoir ce que je veux… C’est aujourd’hui que tu paies pour ton insulte. Ton propre frère en plus…tu mérites même pas de porter le même nom de famille que lui !

Le jeune garçon se releva alors, doucement, se croyant encore dans un rêve, et remarqua une plume un peu plus loin sur son lit. Son regard se figea alors et il commença à trembler de partout, connaissant ces plumes à l’allure si familière : c’était Fusanoshin. Il pourrait apparaitre aussi dans ses pires cauchemars, mais il préférait largement la vie réelle seulement. Il était plutôt de bonne humeur ces derniers jours, mais elle ne lui faisait jamais renoncer à une punition, même avec des supplications. Il laissa donc Nakero se lever et le conduisit dehors, où la température avoisinait les zéro degrés, lui précisa que si il prononçait le moindre mot il aurait affaire à son sabre, et l’emmena vers la porte qu’il regardait tous les jours en espérant ne jamais y entrer en premier, pourtant ce jour arriva. Il devait payer pour avoir sali son frère et il le savait bien, mais il continuait de protester, sous prétexte que la punition est trop sévère pour une si petite insulte. Fusanoshin, lui, ne pensait pas comme ça, il lui faisait se rendre compte qu’insulter c’est comme un coup de poing, ça inflige des dégâts moralement et c’était encore pire que physiquement car les dégâts ne sont pas visibles tout de suite. En plus, insulter son frère ou le passant ou n’importe quelle autre personne moins importante à ses yeux, c’était comme insulter un membre du personnel, donc lui avec. Et il n’aimait pas qu’on insulte ses collègues et encore moins lui. Donc la punition est tout à fait équitable, CQFD.

Il ouvrit la porte, et vit une sublime femme habillée en rouge de la tête aux pieds, avec des boucles d’oreilles représentant un bougie barrée de deux lignes en croix (HRP : non, elle s’appelle pas Sadi). Nakero la vit ensuite, se demandant qui elle pouvait bien être et la salua tout en tremblant d’avantage en voyant le fond de la pièce qu’il imaginait beaucoup plus petite. Fusanoshin fit alors les présentations comme il se doit après avoir refermé la porte avec beaucoup de force…

-Alors, qui me ramène-tu là cette fois ?

Cet enfant a osé insulter son frère alors qu’il sait que le règlement est à sa hauteur et que le transgresser amène d’office à une séance de torture. Et comme son frère a refusé de le torture, je m’en occupe.

-Oh je vois… De toute façon personne ne le fait mieux que toi et tous le savent. Mais au fait, je ne me suis pas présentée : Kaytlin, maitresse de torture. J’adore entendre ses victimes souffrir ♥ ! Et comme c’est à chaque fois lui qui me rend visite, je jouis sans arrêt de ces cris !

-Exact, moi je n’ai pas besoin de me présenter alors je vais me contenter de présenter le fond de la salle ? si tu n’y vois pas d’inconvénient. Et comme si tu prononces un seul mot sans t’y avoir autorisé je te découpe en fines rondelles, on va pouvoir directement commencer, ha ha ha !

Fusanoshin l’approcha d’une table en bois visiblement très solide, peu rabotée sur son parement et pourpre de sang séché, il lui montra ensuite les cinq anneaux métalliques ouverts placés aux endroits stratégiques. Ils étaient réglables avec une petite manivelle située derrière qui demandait un certain effort pour tourner, c’est dire si sa position demeurera stable ! Fusanoshin prit de vue les dimensions du corps du jeune garçon et les applique le plus exactement possible à la table pour une meilleure position. Une fois sûr de lui, il prit les bras du prisonnier avant de placer ses mains dans les anneaux et de les refermer jusqu’à couvrir ses poignets du métal froid ; il fit de même pour ses deux pieds et sa tête avant de cadenasser le tout bien solidement et de jeter les clefs négligemment derrière lui. Il prit alors sa tête entre ses serres en appuyant assez fort pour être sûr de capter son attention.

Fusanoshin intimidait énormément le jeune garçon qui n’avait jamais encore vraiment souffert de sa vie, mais aimait faire souffrir les autres, ce qu’il ne supportait pas. Mais il allait à présent payer pour toutes ces souffrances morales infligées à son frère et à son entourage, et surtout ne pas le laisser oublier cet instant. Si bien qu’il avait lancé discrètement un sort pour que sa mémoire enregistre les douze prochaines heures à partir du moment où il prendra effet. Nakero aimait les sensations fortes ? Alors il ne les aimera certainement beaucoup moins après que Fusanoshin l’aura détaché de la table et qu’il lui aura rendu sa liberté… Il comptait tout faire pour en tout cas. Il voulait le voir pleurer, regretter plus qu’amèrement son acte, le voir se battre pour rester en vie, pour que jamais il ne recommence. Au cas où, Fusanoshin avait mémorisé quelques sorts de guérison (pas de soin), pour l’empêcher de mourir quoi qu’il arrive, pour qu’il le supplie de l’achever alors qu’il sait très bien qu’il n’aura pas cette chance, vu ce qu’il a fait. Chez le Shikigami, plus il créait de cicatrices (autant morales que physique) et plus il était fier de son travail, une sorte de référence pour le noter sur son « tableau de chasse ». Maintenant, il ne restait plus qu’à écouter ses dernières paroles d’enfant en bonne santé avant de le meurtrir pour de bon. Dommage que Fusanoshin ne contrôle pas toujours sa force…

Il avait au préalable pris un nombre d’objets près de lui sur la table, sûr d’en avoir besoin. Le jeune garçon tremblotant les regardait attentivement, frissonnant d’avantage en voyant toutes ces choses plus insolites et plus redoutables, mais il savait que ce ne serait pas tout ce que son geôlier utiliserait et qu’il ne montrait que la face immergée de l’iceberg.

-Maintenant que tu es immobile et livré à ma délicate personne… Un dernier mot pour commencer ? Oui tu peux parler maintenant, puisque je te le demande. Parle, tant que tu le peux encore. Après, tu auras beaucoup moins de facilité à prononcer les mots…

Je dormais paisiblement rêvant que je tuais Delfixyon car durant mon combat je n’avais pas réussi juste à le mettre inconscient.

Je dois réussir à m’enfuir et l’oublier mais j’amais je ne pourrais oublier cette personne au visage glacial....

Etrangement, d’après mes amis, je parler dans mon sommeil "Delfixyon ...tuer ...famille... vengeance...."


J’avais vécu de nombreuses choses ses derniers jours : la mort de mes parents, mon frère assassiné, ma rencontre avec Kazuo mon nouvelle amie, j’étais fier de cette journée malgré mes multiples malheurs.

Dans mon rêve après avoir tué Delfixyon, je me voyais avec Kazuo, on se balader dans Survival Wonderland tranquillement en tuant une bonne dizaine de créatures pour se détendre.

J’en avais vécu des choses ..... je vais m'endormir maintenant, d'un sommeil que rien ne réveillerait.

Du moins c'est ce que je pense.....

Je réfléchissais à ce qui m’attendrait demain : une balade avec ma meilleure amie, tuer des créatures, aller sur la tombe de la famille Delfixyon et se réjouir de leur mort...

Mais quelque chose le perturbait dans son sommei... Quelqu’un prés de lui... Le mot "torture" qui lui venait d’un coup... Qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Il ne s’en souvenait pas. Il pensait juste à sa journée avec son amie. Nakero ne se doutait pas de se qu’il allait lui arriver quand il se réveillerait. Son sommeil se faisait de plus en plus trouble. Il voyait une plume et ce nom "Fusanoshin" et disant des choses dans mon sommeil "il...torture...moi.....insulter...ton frère.... ". Que cela pouvait-il bien vouloir dire ? Nakero n’en savait rien, il dormait tranquillement sans savoir se qui l’attendrait à son réveil.

Fusanoshin me réveilla : Debout, toi! Une longue nuit t’attend, c’est plus le moment de roupiller ! Ne fais pas semblant de pas savoir ce que je veux… C’est aujourd’hui que tu paies pour ton insulte. Ton propre frère en plus…tu ne mérites même pas de porter le même nom de famille que lui !

Je me réveillais doucement, pensant être encore dans mon rêve. Je me souvenait dans mon rêve les mots que j’avais pronincé "il... torture...... moi insulter...ton frère...".

-C'EST AUJOURDHUI ! La torture. Non tout mais pas ça !

Il pourrait apparaitre aussi dans mes pires cauchemars, mais il préférait largement la vie réelle. Fusanoshin avait un air sadique, il voulait vraiment que je souffre. Fusanoshin me présisa que si je disais un mot je goûterais à son sabre. Il m’emmena vers une étrange porte couverte de sang. Je devais être torturé pour avoir sali l’honneur de mon frère...... Mais je contestais !

-C'est injuste je ne mérite pas ça ! Kai trouverait ça beaucoup trop cruel !

Fusanoshin me disait de me taire, j'ai sali l’honneur de mon frère, maintenant je dois payer. Je tremblais de partout à l’idée d’être torturé.

Je me demandais : "qu'y a-t’il derrière ces porte ?". Je parlais sans le vouloir, je ne voulais pas le dire à haute voix mais je ne pus pas me retenir. Insulter mon frère... Pour moi ce n’était rien mais pour eux c'était une séance de torture. Fusanoshin détestait les insultes et donc la punition était tout à fait équitable. De l'avis de Delfixyon. Je suis d’accord avec lui. Mais pour combien de temps ?

Fusanoshin ouvrit la porte j’entrai et soudainement mon regard resta figé.

Je fixais les murs et je vis des instruments de torture partout. Chaque endroit où je posais mon regard c’était la mort assurée (du moins je n’espère pas). Fusanoshin me présenta à une ravissante jeune femme. Je m'inquetais de plus en plus...

-Alors, qui me ramènes-tu là cette fois ?

-Cet enfant a osé insulter son frère alors qu’il sait que le règlement est à sa hauteur et que le transgresser amène d’office à une séance de torture. Et comme son frère a refusé de le torturer, je m’en occupe.


-Oh je vois… De toute façon personne ne le fait mieux que toi et tous le savent. Mais au fait, je ne me suis pas présentée : Kaytlin, maitresse de torture. J’adore entendre ses victimes souffrir ♥ ! Et comme c’est à chaque fois lui qui me rend visite, je jouis sans arrêt de ces cris !

-Exact, moi je n’ai pas besoin de me présenter alors je vais me contenter de présenter le fond de la salle, si tu n’y vois pas d’inconvénient. Et comme si tu prononces un seul mot sans t’y avoir autorisé je te découpe en fines rondelles, on va pouvoir directement commencer, ha ha ha !

-Pitié ! Je ne supporterais jamais ça, je vais mourir !

Fusanoshin ne m’écoutait pas. Il veut me voir souffrir ? Il allait être servi. Etrangement, moi aussi au fond je veux souffrir car je regrette de l'avoir insulté. Je n’aurais jamais dû faire ça. Mais je l'ai fait je dois donc payer ! Mais une question se posait : pourquoi j'ai fait cela ? Pourquoi je me suis laissé emporté par ma colère ? J'ai étais bien bête de laisser ma colère me dépasser et voila le résultat. Et oui, même si je en comprenais pas la gravité de mes actes j'allais le payer.

-Pardon, pardon à tous ceux que j'ai insulté, je regrette.... Maintenant torture-moi, Fusanoshin je veux payer mes actes !

Maintenant je me demandais. Pourquoi j'avais insulté Delfixyon et Kai ? Je voulais le savoir, je ne dois pas me laisser emporter par ma colère, plus maintenant !

L’heure est enfin venue pour ce petit insulteur de subir son châtiment. Je ne sais pas encore combien de temps je vais le garder mais ce sera très long, les secondes paraitront durer autant que des minutes et les minutes seront-elles-même comme des heures. Au moins il y réfléchira à deux fois avant de laisser sa colère éclater de cette manière, surtout qu’il est jeune et qu’on lui pardonne beaucoup de choses en raison de ça. Beaucoup trop. Il faut agir et stopper cet engrenage avant qu’il ne manque de respect à plus haut gradé et qu’il ne se fasse tuer. Je sais qu’en principe les gens disent que ça leur fait plus de mal à eux qu’à ceux qu’ils punissent mais je ne pense pas souffrir tant que ça, autant moralement que physiquement. Ma conscience m’indique qu’il faut faire régner l’ordre et c’est ce que je fais. Rien de plus. Bien sûr je pourrais torturer un tas d’autres personnes, mais je préfère commencer par les transgresseurs, ensuite si je m’ennuie, peut-être…

-Pardon, pardon à tous ceux que j’ai insulté, je regrette… Maintenant torture-moi, Fusanoshin, je veux payer mes actes !

-Quoi ? Tu t’excuses ? Attends une minute… Il faut que je te réveille, que je te traine hors de ta chambre, que je te fasse découvrir pour la première fois la salle de torture et que je t’attache à une table par tes deux pieds, tes deux poignets et ta tête pour que tu t’excuses ? Tu as bien besoin d’une correction. Ton cas est vraiment troublant et à la fois effrayant… Mais au moins tu montres du regret et c’est déjà le premier pas. Le deuxième est le châtiment. Sache que je ne fais pas ça (uniquement) par plaisir, je t’aime bien Nakero, et c’est pour ça que je dois éradiquer le manque de respect de ta bouche une bonne fois pour toute. Qui aime bien châtie bien, pas vrai ?

Fusanoshin s’approcha du forcené et donna un violent coup de serre sur son torse dans toute sa largeur. Ses vêtements étaient déchirés et quatre lignes ensanglantées venaient d’apparaitre sur sa plus grosse partie. Nakero poussa alors une énorme hurlement de douleur, ses yeux étaient fermés, ses sourcils froncés par la résistance naturelle du corps à la douleur et il suait à grosses gouttes. Si il avait déjà tous ces symptômes, c’est certain qu’il ne résisterait pas longtemps à ce rythme-là, mais heureusement Fusanoshin avait pris un livre de magie sur les différentes facultés que le corps peu acquérir ; il pourra toujours lui lancer un sort d’invincibilité pour l’empêcher de mourir, qui -comme beaucoup le croyaient- ne développait pas les muscles mais ne faisait qu’immuniser son corps à la mort. Une fois Nakero bien entamé, il ne lui restait plus qu’à passer à la vraie torture.

Le Shikigami prit alors une boîte assez grande dans laquelle il y avait une poudre dont les effets n’étaient que trop craints et connus : elle provenait des baies rouges d’arbustes poussant un peu n’importe où et qui produisait chez le sujet d’horribles démangeaisons. Du « poil à gratter » comme disent les connaisseurs. Il commença par faire un petit test dans le cou de Nakero pour le familiariser avec l’ « instrument », lequel se mit à le démanger tout doucement, jusqu’à ce qu’il cherche désespérément à se libérer pour se le gratter. Il sourit alors, l’air plus que satisfait, prit une poignée de ces poils si familiers et en répandit partout sur le corps du garçon, absolument partout, que ce soit dans ses cheveux ou dans ses chaussures. Il tenait à y aller doucement pour le début, comme à son habitude. Son prisonnier était déjà en train de le supplier de le détacher pour qu’il puisse se gratter, il était bien peu résistant pour un adepte de la décapitation et des insultes.

Après quelques interminables minutes, Nakero avait les poignets entamés à force d’essayer à tout prix de se libérer pour se soulager des démangeaisons sur l’entièreté de son corps. Fusanoshin ricanait discrètement en le voyant ainsi gigoter dans tous les sens depuis déjà une demi-heure, attrapa un rouleau de scotch sur la table, en coupa un bout avec une de ses griffes et le colla sur les yeux de Nakero pour qu’il connaisse la peur. Il voulait le voir terrorisé, sans savoir ce qui l’attendrait, savourant encore plus chaque seconde de sa vie comme si la suivante était la dernière. Les effets se produisirent avec une efficacité impressionnant, à un tel point qu’il ne cessait de demander à son geôlier ce qu’il allait faire ensuite et si il était toujours présent. Evidemment il ne lui ferait pas ce plaisir, il aimait tellement le voir et l’entendre avoir peur, craindre chaque bruit. Peu après avoir pleinement profité de son effroi, il décida de passer aux choses sérieuses et se pencha sur la table. Il y avait toutes sortes de choses pouvant couvrir une tête pour entraver la respiration, mais il choisit la plus confortable, mais avec une petite variante. En-dessous de la table il prit une bouteille à l’odeur aussi caractéristique qu’insupportablement forte, remplaça l’élément dans le compartiment du masque à gaz censé fournir de l’oxygène et le remplit à ras-bord de ce liquide si puissant. Le pauvre garçon ne pouvait pas voir ce qu’il avait en main, mais il sentait la présence de Fusanoshin auprès de lui, ce qui suffit à doubler son rythme cardiaque. Il prit sa tête et lui enfila le masque à gaz jusqu’à ce qu’elle soit profondément enfoncée dedans et le masque solidement fixé à elle, avec les lanières derrière. Les masques à gaz sont spécialement étudiés pour recouvrir la tête sans la moindre chance qu’il ne s’enlève de lui-même, privant son hôte d’oxygène par la « faute à pas-de-chance », ce qui lui donnait un avantage plus que sûr dans cette situation. Nakero fut assez surpris de la confortabilité de ce masque qu’il lui avait enfilé, ce qui dura environ une demi-seconde. Au moment d’inspirer, il sentit aussitôt l’intérieur de son nez comme s’enflammer à l’odeur de l’ammoniaque et comprit immédiatement la manœuvre : rendre une chose vitale terriblement agressive en profitant du fait qu’elle accrochait très bien la tête. Il frottait frénétiquement sa tête contre son épaule pour tenter de le retirer et implorait Fusanoshin de le lui enlever, mais il comptait le laisser longtemps dans cette situation, assez pour qu’il ne sente plus son nez tellement la douleur de l’irritation sera forte.

Encore une fois, les deux spectateurs se délectaient de ses cris de douleurs répétés et plus intenses à chaque minute, mais au bout d’une heure il ne bougeait plus, certainement évanoui par la douleur. Kaytlin lui proposa alors une idée, ce qui inspira beaucoup le geôlier qui regarda dans le deuxième tiroir rempli de paquets de cigarettes confisqués à des fumeurs chevronnés pour leur faire arrêter de force et en alluma une. La fumée, insupportable ? Il ne voulait pas perdre un temps précieux à enfumer Nakero, mais n’était pas non plus fumeur. Il prit alors les pieds de ce dernier, retira ses chaussures et chaussettes, et enfonça profondément le bout ardent dans le plat du talon avant de tirer un peu sur la cigarette, ce qui réveilla aussitôt le jeune garçon. Il recommença jusqu’à ce que ses deux pieds soient entièrement recouverts de brûlures profondes qui lui faisaient souffrir le martyr. Malheureusement il n’était pas encore conscient de la véritable nature de son plan qui visait plutôt à faire de chacun de ses pas se fasse encore plus douloureux que le précédent, et comme elles étaient profondes, il cicatriserait seulement après un bon mois. Le pauvre garçon gémissait toujours plus, mais semblait s’être accoutumé à l’odeur de l’ammoniaque, ce qui était assez surprenant et l’obligeait à intensifier sa torture. Fusanoshin lui retira son masque et découvrit le visage de Nakero qui suait à grosses gouttes le nez cramoisi, il pouvait enfin respirer de l’air libre, mais plus pour longtemps car il lui réservait d’avantages de tortures de ce genre, plus intenses encore. Il prit alors un plus gros rouleau de scotch à la main ainsi qu’un sac étroit et long dans l’autre, tandis que le prisonnier se demandait toujours ce qu’il allait subir ensuite.

-Alors, Nakero, un commentaire à ajouter avant de te réduire au silence jusqu’à la fin de la séance et même après ? Je te conseille de bien réfléchir à ce que tu vas dire avant de le prononcer, car après ça la dernière chose que tu diras ce sera…rien du tout. Comme ça au moins tu réfléchiras encore plus la prochaine fois qu’une insulte te viendra en tête !

L’heure est venue..... Je vais payer de mes actes, mais maintenait j'ai compris une chose : je ne dois plus insulter ni mentir.
J'ai vécu dans le mensonge, dans la souffrance et maintenant je suis comme eux. Mais moi je vais changer ça, je pourrais le jurer ! Maintenant il est l’heure de souffrir, j’attends mon châtiment, car moi je regrette vraiment et je ne veux plus jamais recommencer. Je ne sais pas encore combien de temps il va me garder, mais quand il me relâchera je ne serai plus le même.

-Pardon, pardon à tous ceux que j’ai insulté, je regrette… Maintenant torture-moi, Fusanoshin, je veux payer mes actes !

-Quoi ? Tu t’excuses ? Attends une minute… Il faut que je te réveille, que je te traine hors de ta chambre, que je te fasse découvrir pour la première fois la salle de torture et que je t’attache à une table par tes deux pieds, tes deux poignets et ta tête pour que tu t’excuses ? Tu as bien besoin d’une correction. Ton cas est vraiment troublant et à la fois effrayant… Mais au moins tu montres du regret et c’est déjà le premier pas. Le deuxième est le châtiment. Sache que je ne fais pas ça (uniquement) par plaisir, je t’aime bien Nakero, et c’est pour ça que je dois éradiquer le manque de respect de ta bouche une bonne fois pour toute. Qui aime bien châtie bien, pas vrai ?

-Oui, tu a raison Fusanoshin mais moi j’en ai marre ! Même plus, je regrette, je veux souffrir... Je ne comprends pas pourquoi j’insulte, ça part tout seul. Mais il est trop tard pour se justifier ! Vas-y torture moi, j'attends de voir ce que tu sais faire !

Fusanoshin s’approcha de moi, l’air pensif. Je m’inquétais un peu, même si je veux souffrir, maintenant c'est à mon tour de payer. Je me suis vengé de Delfixyon mais à qu’elle prix ? Maintenant il et temps ...
JE DOIS PAYER MES ACTES ! J’en est marre de vivre ça ! De savoir que j'ai insulté une personne sans en payer les conséquences ! Donc il est temps que je souffre pour de vrai ! je n’ai jamais vraiment souffert... et bien ce jour maudit est arrivé.

Il et temps.... Je dois souffrir. Après ça j’aurai l’âme en paix.

Quelques temps après, je criais de douleur, je ne supportais plus mais je tenais le coup. Je ne peux plus reculer, plus maintenant, je veut payer mes actes JE VEUX SOUFFRIR !!! Ainsi j’aurai la paix ! Plus de tourments, tout ça sera fini ! Mais Fusanoshin me torturait lentement pour que je souffre beaucoup. Quand tout ça sera fini j’aurai quelque chose à lui dire...

Kaytlin et Fusanoshin se réjouissaient de mes cris de douleur, ils aimaient voir des gens souffrir pour ce qu’il avas fait, mais ils ne s’attendaient pas à ma réaction, à ce que moi j’allais faire après cette séance de torture !
Oui ça, personne ne pourra le savoir avant la fin... La fin de tout ! Le jour maudit où je serai défunt, avant ce jour je devais le dévoiler si je ne veux pas de méprise ! Tout le monde me prend pour un fou mais au fond de moi je ne suis qu’un gosse de 17 ans et oui tout le monde a une face caché ! Même les décapiteur fous, même si je sais que personne ne me connais vraiment, même Delfixyon.
Mais ce sera à lui que je le dirai avant tout le monde, ce que je compte faire pour rattraper tout ce que j'ai fait. Pour me faire pardonner. J’espère qu’un jour je pourrai revenir chez Delfixyon même si je sais que jamais ce jour n'arrivera.

-Alors, Nakero, un commentaire à ajouter avant de te réduire au silence jusqu’à la fin de la séance et même après ? Je te conseille de bien réfléchir à ce que tu vas dire avant de le prononcer, car après ça la dernière chose que tu diras ce sera…rien du tout. Comme ça au moins tu réfléchiras encore plus la prochaine fois qu’une insulte te viendra en tête !

- Je n’ai rien à rajouter à part.... Pardon pour tout ce que j'ai fait, maintenant je souffre et je voie tout se que j'ai infligé à tous ces gens... Pardon... Vraiment je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça !

-Je n’ai rien à ajouter à part… Pardon pour tout ce que j’ai fait, maintenant je souffre et je vois tout ce que j’ai infligé à ces gens… Pardon… Vraiment je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça !

Nakero… Il a vraiment besoin d’une bonne leçon. Il n’a rien retenu de cette expérience, il s’était excusé et maintenant il s’excuse encore alors qu’il devrait au contraire ne rien regretter et assumer ses actes. Pourquoi il tient tant à effacer ses insultes ? Elles resteront pour toujours dans leur mémoire et il ne pourra jamais les effacer, alors pourquoi il cherche absolument à se faire pardonner ? Comme si ses excuses allaient tout faire disparaitre par magie… Il ne faut pas s’excuser, il faut assumer et retenir la leçon pour qu’au contraire on voie la différence. Il compte employer la même méthode pour chaque acte irréfléchi ? J’espère pour lui qu’il ne le fera pas, sinon on ne lui pardonnera pas la prochaine fois. Bien sûr je ne vais pas la lui apprendre, il faudra qu’il le fasse de lui-même. Maintenant il est temps de terminer sa séance de torture pour voir si vraiment il a retenu la leçon ou non…

Le jeune prisonnier venait de prononcer ses dernières paroles pour un très long moment. Son dernier mot était donc «Pardon». Si il voulait demander pardon, pourquoi le faire en l’air ? Autant leur dire en face et espérer qu’ils lui pardonnent son insulte. Fusanoshin comprenait vite, mais avait quelques difficultés avec la logique humaine et ses mystères, sans parler de celle des humaines qu’il avait renoncé depuis longtemps à comprendre. Il ne savait pas que les humains demandaient pardon pour montrer qu’ils ont de la compassion en eux, qu’ils savent éprouver des remords, et non pour tenter de se rattraper pendant qu’ils le peuvent encore. La seule logique de Fusanoshin dans cette catégorie est «erreur-assumer-demander pardon-adaptation bénéfique-changement radical» mais ce n’était pas aussi facile que ça et il y avait encore beaucoup d’étapes en plus.

Maintenant que Nakero avait dit son dernier mot, il allait pouvoir passer aux dernières étapes et ensuite (peut-être) le relâcher. Il prit le rouleau de scotch de sa main gauche, coupa un long morceau, et le colla sur la bouche de Nakero, en appuyant bien fort pour qu’il tienne longtemps. Une fois silencieux, il ne pourrait plus insulter personne, il fallait qu’il ne parle plus mais qu’il pense, qu’il réfléchisse à son comportement et qu’il trouve le plus adéquat. Tout se passait dans la tête, autant les fausses maladies qui justifiaient un placebo, que pour convaincre quelqu’un, que pour trouver la solution à un problème récurrent. Il prit alors le sac dans sa main droite et l’enfila sur sa tête, même si il était un peu petit. Une fois totalement enfoncé dedans, il respirait difficilement et ça semblait le gêner de plus en plus au fil des minutes, au grand plaisir des deux spectateurs. Après avoir donné un bon coup de poing dans l’estomac du prisonnier pour stopper provisoirement sa respiration, il prit de la corde en la noua autour de son cou mais pas encore serrée jusqu’au bout, histoire de prolonger encore plus ses souffrances et faire de chacune de ses inspiration un calvaire à réaliser.

Fusanoshin réfléchissait à quelque chose : il lui fallait un cadeau souvenir de cette séance de torture. Il eut alors une idée, prit son sabre, enleva le haut que portait Nakero et lui grava «Hitotsu» en écriture manuelle, ce qui signifiait «un» ou «première fois» dans ce cas. Le jeune garçon poussait des hurlements étouffés de douleur car il entaillait profondément sa peau pour lui laisser la cicatrice à vie ou le plus longtemps possible, et lui ne voulait pas rater son œuvre donc y allait lentement. Une fois son torse marqué «au fer rouge», il ne risquait plus d’oublier sa leçon, une sorte d’assurance au cas où il recommencerait, mais il ne voulait pas une simple cicatrice. Il prit un livre dans l’étagère au-dessus de la table, regarda attentivement la page qu’il recherchait, pointa la blessure d’une de ses griffes, prononça une formule magique et termina par «Bujoku» ou «insulte» en français. Il venait de lancer un sort puissant sur sa blessure qui se réveillera et le fera souffrir horriblement pendant douze heures à chaque fois qu’il lancerait une insulte en le pensant. Une double assurance. Le haut de Nakero était maintenant rouge sang à cause de sa griffure et du kanji inscrit sur son torse, il gémissait toujours plus et avait beaucoup de mal à respirer longuement. Il connaissait enfin le vrai sens du mot «torture» maintenant. Après quelques minutes, le Shikigami serra la corde autour du sac autour de son cou en faisant un double nœud, appuya fortement sur sa griffure pour la rouvrir et lui enfonça son poing dans la figure. Il prit alors son sabre, le planta dans le ventre du prisonnier sur environ cinq centimètres et tourna dedans pour qu’il sente bien son corps se meurtrir, ce qui provoqua d’autres cris de douleurs se rapprochant de plus en plus des pleurs, mais toujours étouffés par son bâillon qui lui collait toujours la bouche. Il n’avait certainement jamais souffert comme ça auparavant et c’est justement sur quoi Fusanoshin comptait, il voulait graver ce long moment dans sa mémoire, non seulement pour qu’il apprenne de ses erreurs passées, mais aussi pour endurcir son corps. Il saignait maintenant beaucoup, tapissant le sol de la même couleur que ses habits. Il se sentait mourir mais il luttait pour survivre, comme un humain le ferait normalement, mais Fusanoshin veillait à ce que ça n’arrive pas et lançait de tout petits sorts de soin pour l’en empêcher. Ainsi il pourra souffrir encore plus longtemps et repartir vraiment amoché de partout. Tel était le prix d’une insulte aussi ignoble, et le fait qu’elle fut lancée sur son frère n’arrangeait pas les choses…

Les minutes passaient, Nakero tentait toujours d’enlever le sac autour de sa tête, même si il n’avait aucune chance car il était noué au niveau du coup par un double nœud. Le prisonnier s’évanouit alors après de nombreux en vains essais, encore une fois. Il n’avait vraiment jamais souffert de sa vie… Le Shikigami était exaspéré de ces évanouissements répétés, prit du sel et saupoudra tout le torse de Nakero, qui se réveilla aussitôt. Il hurlait cette fois encore plus fort que les dernière fois, tirant très fortement sur les boucles qui retenaient ses poignets, sa tête et ses pieds pour se libérer à tout prix. Fusanoshin ouvrit alors sa plus grosse blessure et y versa une poignée entière de sel en visant bien l’intérieur, même si son corps gigotait de partout. Il se plaça alors sous la table et modifia les réglages afin d’écarter encore plus ses quatre membres et sa tête, pour qu’il bouge moins. Il le laissa une heure dans cette position, à s’entamer fortement ses poignets et pieds à force de chercher à se délivrer tellement la douleur était insupportable. Fusanoshin et Kaytlin le regardaient gémir jusqu’aux pleurs avec des yeux intéressés, Nakero avait maintenant les quatre membres en sang. Le Shikigami se leva alors, il se disait que son prisonnier avait assez souffert et qu’il n’insulterait plus jamais quiconque en le pensant vraiment, non seulement pour son corps mutilé, mais pour le sort qui l’étreignait. Il dénoua la corde autour de son cou, retira délicatement le sac dans lequel sa tête était enfoncée et ouvrit les cadenas à ses cinq bracelets métalliques. Le corps de Nakero tomba alors par terre, saignant de partout mais bien vivant, quoique légèrement poussé au-delà de ses limites et épuisé. Avant de le relâcher, il tenait à lui faire passer une dernière épreuve. Il prit le scotch, attacha solidement ses mains dans le dos sur plusieurs rangées tout aussi serrées, avant de passer à ses pieds toujours troués et brûlés de partout par la cigarette ardente. Il lui retira le morceau de scotch sur ses yeux et en rajouta deux sur sa bouche en diagonales avant de prendre une dernière fois la parole.

-Nakero, tu es libre maintenant, tu peux regagner ton lit ou passer à l’infirmerie pour te soigner, mais avant ça il te faudra encore passer une dernière étape. Comme tu peux le constater, je t’ai attaché les mains dans le dos et tes pieds. À présent, débrouille-toi pour te libérer et rentrer te coucher, mais le mieux serait de compter sur l’aide d’un ami, une âme assez compatissante pour vouloir te délivrer, toi, le petit insulteur. Si tu t’y prends correctement, tu peux t’arranger pour que le premier passant te détache, mais il te faudra tout miser dans ton regard qui devra être amical et non dédaignant. Voilà, la porte est ouverte, tu peux partir, j’ai terminé ce que j’avais à faire.

Nakero était en sang, il n’avait plus la force de bouger, mais il devait cependant trouver le courage de résister à la douleur et de continuer sa route vers son lit.

-Nakero, tu es libre maintenant, tu peux regagner ton lit ou passer à l’infirmerie pour te soigner, mais avant ça il te faudra encore passer une dernière étape. Comme tu peux le constater, je t’ai attaché les mains dans le dos et tes pieds. À présent, débrouille-toi pour te libérer et rentrer te coucher, mais le mieux serait de compter sur l’aide d’un ami, une âme assez compatissante pour vouloir te délivrer, toi, le petit insulteur. Si tu t’y prends correctement, tu peux t’arranger pour que le premier passant te détache, mais il te faudra tout miser dans ton regard qui devra être amical et non dédaignant. Voilà, la porte est ouverte, tu peux partir, j’ai terminé ce que j’avais à faire.

Je me demandais ce que je devais faire à présent, il refusait de me délivrer... Comment faire ? Je n’ai plus de force, je suis perdu, on m’oubliera ici seul sans personne ?! Je paniquais ne sachant que faire... Je désespérais seul, pensant que j’allais être abandonné et je vis cette jeune femme, magnifique soit dit en passent, sa beauté m’étouffait mais ce n’est pas le moment de rester à flasher sur elle, je dois trouver un moyen de me libèrer...

Cette jeune femme s’approcha de moi et d’un coup enleva le scotch d’une seul main, je resteait bouche bée, étonné par sa force ne sachant que dire ! Elle avait beaucoup de force, comment avait-elle fait ? Je pensais à plusieurs question mais je ne pouvais rien dire du tout car je pensais qu’elle allait me faire du mal....

- Ne me remercie pas, ici, ne remercie personne. Reste juste en vie. Ah, et évite l'autre Shikigami, c'est juste un oiseau de malheur !

Au moment où je comptais me lever, elle m’arrêta net et me planta une flèche dans la cuisse, comme je souffrais déjà beaucoup je hurlais de douleur pensant qu’elle était folle... Mais je me rendis compte qu’elle aussi m’en voulait. Pourquoi ? Je ne lui ai rien fait, je ne la connais même pas ! Je pense que tout Survival est au courant de mes actes et de ce que j'ai fait à mon frère et Delfixyon... Mais pourquoi ?! Qui pourrait m’en vouloir à un tel point, de le répéter par tout ?! Je n’en savais rien mais d’un coup quelque chose me parvenu : DELFIXYON ! Ça doit être lui. Il m’en veut tellement. Je dois faire mon maximum pour me rattraper maintenant.


-Je n'ai pas tiré à pleine puissance, heureusement pour toi. Souviens-toi de toutes ces douleurs, et ne recommence plus jamais ta bêtise. Ça vaut mieux, pour toi

Je me demandais combien de temps tout cela avait duré et si j’avais vraiment mérité tout ça... Pourquoi je me pose toutes ses questions inutiles ?
Je retourne dans mon dortoir en souffrant à chaque pas que je faisais. Ces derniers jours je vécus des choses horribles, je penser qu’une fois de retour je pourrais oublier tout cela, mais je sais que jamais... Jamais je ne pourrais oublier ce jour maudit ! Une fois dans mon lit je m’endormais paisiblement, voulant oublier tout sa.....



[ End.]